Définir son profil et ses besoins

Pour commencer, il est important de définir votre profil afin de connaitre vos besoins en termes de soins médicaux. Pour cela, listez votre âge, votre état de santé et éventuellement celui de votre famille à charge ainsi que votre budget santé. C’est un point de départ pour établir le type de contrat qu’il vous faut. Il est inutile de sélectionner des options dont vous n’avez pas besoin.

Se pencher sur les garanties et exclusions

Connaitre en détail les garanties proposées par la mutuelle est primordiale. Pour que votre mutuelle de santé couvre bien vos besoins, penchez-vous sur les remboursements les plus importants comme : les soins dentaires, l’optique, l’hospitalisation ou les professionnels qui exercent en privé. Par ailleurs, la connaissance des exclusions spécifiques dans le contrat vous aidera également à optimiser votre marge de manœuvre. Les exclusions varient en fonction du type de contrat.

L’option tiers payant

Il est aussi intéressant de choisir sa mutuelle de santé avec ou sans tiers payant. L’avantage du tiers payant est de ne pas avoir à avancer les frais d’accès à un soin ou lors de l’achat de médicaments. Dans le cas où il s’agit d’un tiers payant partiel, vous devez avancer une partie de vos frais médicaux selon le pourcentage défini par le contrat. En général, vous devez vous rendre dans les établissements d’un réseau pour bénéficier d’un tiers payant.

Les prestations d’assistance

Vous pouvez aussi inclure dans vos critères de choix de votre mutuelle santé les prestations d’assistance. Elles sont surtout utilisées dans les hospitalisations ou pour votre prise en charge dans le cas où vous avez besoin d’assistance pour des raisons d’ordre médical.

Le THCV en quelques mots

Encore appelé tétrahydrocannabivarine, le THCV est un cannabinoïde qu’on peut trouver naturellement dans les variétés de cannabis originaires d’Afrique. Il est très proche et en même temps différent du THC. Il a en effet une structure moléculaire similaire au tétrahydrocannabinol, mais sa chaîne latérale est plus longue. Ce qui fait qu’il a sa manière d’interagir avec le système endocannabinoïde de l’organisme humain. Ainsi, les bienfaits potentiels du THCV sont nombreux. Ses effets modulateurs atténuent même les effets psychotropes du THC.

L’intérêt pour le THCV

Les études préliminaires sur le THCV sont très intéressantes et suscitent l’intérêt des scientifiques. Elles suggèrent que cette molécule :
• Peut réduire l’appétit, ce qui s’avère nécessaire dans certaines situations cliniques.
• Présente des effets analgésiques et anti-inflammatoires, ce qui fait d’elle un candidat idéal pour le traitement des douleurs chroniques et des inflammations.
• Améliore la tolérance au glucose et impacte sur le métabolisme énergétique, ce qui peut être bénéfique pour les patients atteints de diabète de type 2.

Bien évidemment, des recherches supplémentaires doivent être réalisées pour démontrer les bienfaits du THCV et comprendre ses mécanismes. Son usage récréatif est donc très limité.

La consommation du THCV

Il est possible de consommer le THCV de différentes façons. On peut :

• Utiliser un vaporisateur pour inhaler directement la molécule, ce qui permet d’éviter les substances nocives.
• Manger les produits comestibles qui en contiennent. C’est une méthode discrète et agréable permettant de jouir de ses effets.
• Fumer les fleurs de cannabis riches en THCV.
• Se tourner vers les résines, les cristaux et les autres formes concentrées de THCV. Il est ici nécessaire de se munir d’un équipement spécial, comme un dag rib.

Miser sur un clavier lavable

Le clavier est l’accessoire informatique le plus utilisé, pourtant non protégé. Dans les milieux hospitaliers, il est considéré comme une source de contamination courante où les germes se sont déposés. Pour réduire le risque d’auto contamination, pensez à le désinfecter après un bon lavage. Sinon, préférez un modèle lavable en verre que vous pourrez décontaminer facilement. En outre, sa surface lisse permet d’éliminer les microbes ou les virus de manière efficace, grâce à un simple frottement. A savoir que le clavier en verre fonctionne de la même manière qu’un modèle traditionnel qui peut propager rapidement un virus.

Manipuler son masque

Le contexte actuel exige de porter un masque à tout moment. Utilisé dans le secteur de la santé, il faut suivre certaines règles pour éviter qu’il devienne une source d’auto contamination. En effet, on a tendance à le toucher avec la main de manière mécanique. Cette simple action peut cependant entraîner une auto contamination et une contamination pour les autres individus. Alors, il vaut mieux changer le masque toutes les 4 heures. S’il est humide, retirez-le. Pour ce faire, évitez de toucher la zone protectrice avec votre main. Cela pourrait vous contaminer si cette dernière est en contact avec une partie de votre corps. Enlevez-le donc à partir de ses élastiques, puis désinfectez vos mains.

Bien nettoyer son smartphone

Aujourd’hui, de plus en plus de personnes passent leur temps à utiliser leur téléphone. Cependant, c’est un vecteur de contamination. Environ 4 individus différents manipulent le même téléphone dans une seule journée lors des échanges sociaux. Dans le monde médical, il arrive souvent de se passer l’appareil entre collègues. Pour éviter de vous transmettre les microbes et le virus les uns aux autres, il faudra penser à décontaminer votre téléphone en utilisant un chiffon en microfibre. Trempez le tissu dans l’alcool et frottez attentivement votre écran. Veillez à ne pas l’imbiber pour ne pas l’endommager. Ensuite, nettoyez sa coque arrière.

Faire des exercices physiques

Les douleurs peuvent se manifester de différentes manières, car elles peuvent provenir de cas différents. Il se peut que ça vienne des problèmes d’articulation, du traumatisme de la colonne vertébrale ou encore des irritations. C’est vrai que si on fait trop d’effort, cela peut engendrer des douleurs. Mais rester immobile, à attendre que ça passe, sans rien faire, ne fera qu’aggraver la souffrance.

Pour y remédier, il faut pratiquer des exercices adaptés. Quand on parle d’exercice physique, on ne mentionne pas les sports trop violents. On déconseille tout de suite le foot, les combats et la course, il faut juste des exercices qui permettent d’étirer et de renforcer les muscles comme la natation, le yoga ou la marche. Vous pouvez également faire des exercices d’assouplissement.

Avoir une alimentation saine

Il est important de bien s’alimenter pour donner de l’énergie à l’organisme. Il faut s’hydrater régulièrement pour une bonne circulation. En l’occurrence, vous devez boire au moins 1.5 litre d’eau par jour, et encore plus en cas de forte chaleur ou quand vous faites des exercices physique. C’est déjà un effort pour soulager la douleur.

Le sommeil joue aussi un rôle dans le fonctionnement de l’organisme, ce qui implique qu’il faut dormir convenablement. Complétez votre quota horaire de 7 heures de sommeil par nuit. Les siestes sont recommandées, mais les repos prolongés n’aident pas à soulager les douleurs.

Prendre des médicaments

Cette option n’est pas toujours la première à être conseillée, mais c’est souvent la solution adoptée par les personnes qui souffrent de mal de dos. Bien évidemment, ce sont tout de suite les anti-inflammatoires qui peuvent réduire la souffrance. L’antalgique de type paracétamol est utilisé couramment. Le CBD est aussi considéré comme antidouleur qui réduit les inflammations. C’est aussi un produit qui a apportent de nombreux bienfaits sur le corps, visitez le site pour en savoir plus. En revanche, ces médicaments n’éliminent pas tout à fait les maux, mais allègent les douleurs.

Consulter le médecin

Faire appel à un kinésithérapeute peut rassembler le procédé de toutes ces préventions. Le traitement passera par un massage, des étirements, des exercices pour la libération de la tension, et des renforcements musculaires. Les médecins recommandent ces exercices avec une alimentation saine. Toujours se mettre au chaud aidera à améliorer le traitement afin d’avoir de bons résultats. Vous pouvez aussi prendre rendez-vous auprès des instituts de bien-être pour vous faire chouchouter de temps en temps.

Les douleurs peuvent durer des heures, des jours et même des semaines donc il faut prendre la meilleure prévention possible. Il faut toujours travailler les bonnes postures, savoir se tenir bien droit et essayer de ne pas trop se fatiguer.

Le tensiomètre : à quoi ça sert ?

Le tensiomètre brassard affiche en même temps sur le cadran électronique la pression systolique, la pression diastolique et le pulse. La pression artérielle normale est inférieure à 120 mmHg pour la systole et inférieure à 90 mmHg pour la diastole. La pulsation du cœur varie de 80 à 90 par minute. Il est toujours conseillé de faire un suivi de sa santé artérielle, au moyen d’un tensiomètre, qui permet de mesurer la pression sanguine ou la pression artérielle. Le tensiomètre est ainsi un appareil médical, mais vous pouvez vous en acquérir si vous désirez mesurer vous-même votre pression artérielle. Il en existe plusieurs types avec des fonctionnalités diversifiées. Les personnes de troisième âge, et celles qualifiées d’immunodéprimées, devraient en avoir un chez elles pour vérifier de manière régulière leur santé artérielle, et aussi pour détecter le risque d’hypertension.

Quel type de tensiomètre choisir ?

Les avancées technologiques permettent actuellement une utilisation facile avec le moindre effort. Il vous suffit d’appuyer sur un bouton. Les tensiomètres mono brassard et manuels deviennent presque inutilisables. Vous pouvez désormais avoir chez vous des tensiomètres techniquement plus performants, tels que les tensiomètres connectables à un PC et les tensiomètres électroniques. Ils affichent la mesure systolique, diastolique et le pulse, et indiquent l’installation correcte du brassard. Vous pouvez aussi avoir le tensiomètre brassard avec connexion Bluetooth avec des fonctionnalités numériques automatiques. Le tensiomètre bras électronique est également unique en son genre. Il y a ceux qui sont intelligents servant à détecter les pulsations cardiaques irrégulières. D’autres tensiomètres de bras détectent d’ailleurs les risques de fibrillation auriculaire.

L’adoption d’une bonne posture

Le vieillissement, la prise de poids, l’inactivité physique et le stress font partie des raisons qui favorisent le mal de dos. Mais la plus grande source des douleurs dorsales est la mauvaise position. Et pourtant des gestes simples peuvent être adoptés pour avoir une bonne posture et prévenir ou soulager le mal de dos.

La bonne posture lorsqu’on est assise au bureau est de garder le cou bien droit, dans l’alignement de la colonne vertébrale, les coudes bien positionnés sur l’accoudoir. Les yeux à la hauteur du haut de l’écran, les épaules bien détendues et les bras et les cuisses en parallèle avec le sol.

La pratique de certains sports

L’idéal, pour prévenir et soulager le mal de dos, est la pratique d’une activité physique de façon régulière et modérée. Mais il ne faut pas faire n’importe quel sport quand on a mal au dos. Il faut éviter les sports extrêmes et privilégier les sports qui sont peu traumatiques pour les articulations.

Parmi les sports recommandés par les spécialistes pour soulager le mal de dos, il y a le yoga, la gymnastique douce et la natation. En plus de soulager les vertèbres lombaires, ces sports permettent de renforcer les muscles dorsaux et les abdominaux. Toutefois, pour la natation, il vaut mieux éviter la brasse et le papillon. Optez plutôt pour le crawl ou le dos crawlé.

La marche active fait également partie des activités physiques idéales pour soulager le mal de dos.

La traction vertébrale

Depuis quelques années, la traction vertébrale a fait l’objet de plusieurs études. C’est l’une des techniques très anciennes qui permettent de soulager le mal de dos. En effectuant une traction au niveau des lombaires, vous favorisez l’agrandissement de l’espace intervertébral et la séparation des apophyses transverses. Cela provoque un étirement des muscles para-vertébraux et produit ainsi une diminution de la pression intervertébrale.

Pour réaliser cette décompression, vous pouvez utiliser différents dispositifs tels que le Nubax, comme évoqué sur le site PasseportSante. Le Nubax est un dispositif de traction lombaire qui permet une élongation du dos pour soulager les douleurs lombaires chroniques. Il est également reconnu pour son efficacité en cas de scoliose. Cet appareil est très facile d’utilisation, il peut être utilisé à domicile, sans l’aide d’une tierce personne. Comme tout autre dispositif médical, un avis professionnel et un suivi personnalisé sont recommandés.

Acheter des équipements médicaux dans des magasins spécialisés

Il n’y a rien de plus sûret de plus pratique que d’acheter vos équipements médicaux dans des magasins spécialisés. En effet, Il est toujours important de demander l’avis et le conseil d’un spécialiste avant de prendre une décision sur quoi acheter ? Quelle est la marque idéale ?… Les personnels du magasin sauront alors vous aider et vous orienter. De plus, si vous vous rendiez directement auprès des magasins, vous pourriez voir l’équipement de vos propres yeux et juger s’il correspond ou non à vos attentes.
Sinon, vous ne pourriez également acheter vos équipements médicaux depuis chez vous cars certains magasins spécialisés possèdent des sites de vente en lignes pour vendre leurs produits directement sur le web.

Acheter des équipements médicaux sur internet

Internet vous propose également un autre moyen qui vous permettra d’acheter vos équipements médicaux facilement. Grâce à l’avancée de la technologie, peu importe le type d’équipement, vous pourriez les acheter à distance.
Côté pratique, acheter vos équipements médicaux en ligne vous permettra de gagner du temps. De plus, l’achat peut se faire n’importe où vous êtes. Et si on parle de prix, souvent, le prix est toujours plus bas qu’en magasin car certains commerçants offrent des réductions. Très pratique, il ne vous reste qu’à faire vos recherches, choisir l’équipement voulut, payer et se faire livrer à l’adresse souhaitée. Pour vous aider, voici quelques sites : Axess Industrie, Amazon.fr, NurturedPaws.fr, Manomano.fr, Abay etc.
Avant de conclure un achat en ligne, nous vous conseillons de bien vérifier le site, les conditions générales de ventes pour éviter les arnaques.
Sinon, vous pourriez également acheter vos équipements médicaux auprès de vos magasins habituels.

Le traitement médical

Comme toute maladie ou affection, le premier type de traitement est le recours aux médicaments. En effet, ceux qui sont prescrits peuvent guérir près de 80 % des douleurs. Le traitement médical de base est composé d’antalgiques qui sont des médicaments antidouleurs, d’anti-inflammatoires et de médicaments visant à relaxer les muscles.

Les antalgiques sont utilisés en fonction de la gravité de la douleur. Les antalgiques de palier 1 sont essentiellement composés de paracétamol. Il est jugé comme insuffisant pour soulager l’affection. Ceux de palier 2 sont plus efficaces, car ils comprennent divers types de médicaments. Ils sont prescrits en cas de sciatique par hernie discale. Les antalgiques les plus puissants sont composés de morphine. Les médecins ont souvent recours à ce type de médicament lorsque le niveau de douleur est insupportable.

Les anti-inflammatoires prévus pour soigner la hernie discale ne comprennent pas de cortisone. Ils correspondent aux antalgiques de palier 2.

Les myorelaxants sont souvent privilégiés par les médecins si la hernie discale est associée à des douleurs musculaires dues aux contractures. Ces types de médicaments aident également à lutter contre l’anxiété.

Pour traiter une hernie discale plus grave, les spécialistes ont recours à des corticoïdes. Ils peuvent servir de complément à un traitement antidouleur basé sur la prise d’anti-inflammatoires. Cependant, la durée du traitement ne doit pas excéder 10 jours.

Dans certains cas, le médecin effectue une injection de corticoïdes dans la partie où se trouve la hernie discale. Ce type de traitement n’est efficace que sur 3 à 6 semaines. De ce fait, pour plus de résultats sur le long terme, il faudra le compléter avec d’autres cures. En général, il faudra 3 injections espacées de quelques jours.

Il est important de noter que la kinésithérapie est déconseillée en cas de hernie discale aiguë. Il faudra tout d’abord la soulager et se servir de cette méthode comme moyen de prévention par la suite.

Le traitement chirurgical

Le médecin a recours à la chirurgie en cas d’inefficacité du traitement médical. Cette inefficacité se traduit par les symptômes suivants :

– douleur insupportable malgré la prise régulière d’antalgiques
– paralysie ou faiblesse musculaire
– incontinence urinaire ou anale
– destruction et dysfonctionnement des neurones

Comme toute opération chirurgicale, le chirurgien effectue une ablation de la hernie de façon à ce qu’elle n’ait plus un impact sur les nerfs et les neurones. L’hospitalisation en cas de hernie discale dure environ 2 à 5 jours. Après une rééducation, le patient peut progressivement vaquer à ses occupations quotidiennes. Si la personne pratiquait des activités sportives régulières, elle sera en mesure de les reprendre après 2 à 3 mois.

Par ailleurs, sachez que le traitement chirurgical de la hernie discale ne met pas obligatoirement fin à toutes les douleurs. En effet, comme mentionné précédemment, la chirurgie ne vise qu’à enlever uniquement la zone qui comprime le nerf. Donc, le disque n’est pas entièrement « réparé ». Les douleurs qui y sont liées peuvent réapparaître.

Les personnes opérées d’une hernie discale ne sont pas non plus à l’abri des effets secondaires. Suite à l’anesthésie et à la prise d’antidouleurs, le patient peut ne pas contrôler sa vessie. Mais cette gêne est passagère et elle disparaît après quelques heures ou quelques jours en fonction des personnes.

Le traitement par la physiothérapie

La physiothérapie est également un moyen de soigner la hernie discale. En général, le physiothérapeute a recours à des techniques manuelles, à l’électrothérapie ou encore à la puncture physiothérapie avec aiguilles sèches.

À l’aide d’un programme d’exercices spécifiques, la personne retrouve peu à peu ses forces. Sa mobilité est également améliorée. De plus, la physiothérapeute est en mesure de conseiller sur les postures à privilégier afin de soulager la douleur. En général, ce professionnel travaille avec votre médecin, ce qui vous garantit une meilleure prise en charge. Néanmoins, il convient de noter que la physiothérapie est utilisée uniquement à titre préventif et pour éviter les récidives.

Mais avant d’opter pour un quelconque traitement de la hernie discale, il faut connaître un peu plus les causes ainsi que les symptômes. À cet effet, consultez la page jenaibesoin pour en savoir davantage.

Gants et pansements

Dès qu’un médecin reçoit un patient, il doit mettre des gants médicaux, et en changer dès qu’il reçoit un autre patient. Il y a des gants avec aspect poudré et d’autres non poudrés et il y a le choix entre des gants en vinyle, en latex, en polyéthylène et en nitrile. Les pansements font aussi partie du matériel de protection du médecin. Ils servent à protéger des plaies et à favoriser leur guérison. Il y a le pansement sec, le plus utilisé pour des prises de sang, le pansement hydrocellulaire qui absorbe l’exsudat de la plaie et généralement utilisé en cas de brûlure, d’escarre ou d’ulcère et le pansement absorbants ainsi que les pansements gras ou interfaces.

Aiguilles et seringues

Les aiguilles font partie du matériel de soins car on s’en sert pour faire des injections ou des ponctions. Elles sont utilisées pour injecter des traitements locaux tels que les infiltrations mais aussi pour effectuer des prélèvements sanguins. Quant aux seringues, elles constituent le contenant qui va recevoir le sang prélevé, le médicament ou le vaccin à injecter. Les infirmiers et les médecins utilisent deux sortes de seringues : le modèle 2 pièces ou celui à 3 pièces. Ils sont similaires, sauf au niveau du caoutchouc au bout du piston qui améliore la glisse. Le personnel de santé doit disposer de ces éléments en grand nombre en permanence.

Les causes de l’infarctus

Les principales causes de l’infarctus sont généralement liées aux modes de vie du patient comme la consommation de tabac, le surpoids, le régime déséquilibré, le manque d’activité physique et le diabète. De ce fait, des plaques d’athérome formé par du cholestérol, des débris cellulaires et des fibres se forment sur la paroi des artères et font naître une inflammation chronique. Fragilisées, les parois se rompent et provoquent la formation d’un caillot de sang appelé thrombus, qui obstrue l’artère.

Les symptômes de l’infarctus

Les symptômes de l’infarctus sont généralement sentis dans la région thoracique. Le patient peut également ressentir une forte douleur au niveau de la poitrine comme une sensation d’écrasement. Cette douleur peut s’étendre vers la mâchoire, le dos et le bras gauche. Elles sont souvent accompagnées d’essoufflement et de sueurs froides. Des malaises peuvent également être au rendez-vous, comme le vertige, la nausée et le vomissement. Ces symptômes conduisent le patient à avoir des troubles de sommeil, mais surtout, ils peuvent provoquer une perte de conscience.

Les réflexes à avoir en cas de crise

La perte de conscience causée par l’infarctus s’appelle une syncope. Elle se définit comme un malaise soudain provoqué par un arrêt cardiaque. Quand ce type de malaise se présente, avant l’arrivée des secours, il est urgent de mettre le malade sur le dos à même le sol. Ensuite, il faut surélever ses jambes pour permettre au sang de bien circuler jusqu’au cœur. Cette position peut également contrôler sa respiration afin de prévenir l’hyperventilation.